Kebab: Ugur Salli, l’homme qui fait un tabac au «83» et sur les réseaux sociaux
Les clients viennent de loin et n’hésitent pas à faire la queue pour déguster les kebabs faits maison du Fribourgeois de 35 ans et de sa maman.
Pierre Schouwey
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«Salut beau gosse, avec tout?» Le geste est sûr, la main vive, la portion généreuse. A l’image du patron, qui n’hésite pas à offrir une tournée de boissons ou une assiette de frites çà et là. Quand ça n’est pas tout simplement le plat de résistance. Pris d’assaut dès 11 h 30 et jusqu’à tard le soir, le «83» s’est imposé dans le cœur et l’estomac des étudiants du boulevard de Pérolles. Et bien au-delà, à voir la queue qui s’étire quotidiennement le long du bâtiment. «L’autre jour, des gens sont venus de Lucerne exprès pour déguster notre cuisine», assure Ugur Salli.
Le patron, c’est lui. Claquettes chaussettes en bas, masque hygiénique et langue bien pendue en haut. Le succès sur les réseaux so