«J’aime beaucoup le contact avec les gens et j’ai la capacité, en toutes circonstances, de vous mettre à l’aise.» Trouvée sur la page LinkedIn de Robbi Gubitosa, conseiller en assurances, cette description en dit beaucoup sur l’entraîneur de Massagno. Affable, l’homme n’élude aucune question. Au bout du fil, durant la demi-heure de conversation, il refusera juste de parler de Roberto Kovac. «Pourquoi perdre du temps avec lui?» interroge le coach qui s’est séparé du shooteur d’Olympic il y a une bonne année après des mois de tension. Pour le reste, l’entraîneur tessinois à la langue bien pendue a parlé de sa vie ultra-remplie, de ses émotions qu’il a à fleur de peau et de son avenir loin des parquets.

Avant de tirer sa révérence, jeudi au plus tard, Robbi Gubitosa (50 ans) a surtout évoqué la finale de «son» Massagno. Un club dans lequel il œuvre depuis près de 20 ans, qu’il symbolise à merveille et qu’il espère voir bousculer encore une fois le Fribourg Olympic de son ami Thib