Justice » Une quinquagénaire fribourgeoise, fâchée d’être toujours le «numéro deux» après trois ans de relation clandestine, l’a fait savoir à son amant avec une énergie et une obstination rares, qui lui ont valu une condamnation à cinq mois de jours-amende avec sursis, une amende ferme de 5000 francs et près de 3000 francs de frais de justice pour contrainte et tentative de contrainte par harcèlement.

Faisant le forcing pour obtenir la première place dans la vie de son amant, la quinquagénaire s’est mise à le bombarder, par crises espacées d’une dizaine de jours, de messages menaçants et dénigrants. Elle le poursuivait aussi par téléphone, appelant jusqu’à 18 fois par jour, le bombardant de questions et menaçant de mettre sa rivale au courant de la double vie de leur amant commun.

Après une année de ce harcèlement, l’amant a cassé l’arme du chantage en révélant lui-même cette relation parallèle à sa compagne et en rompant par écrit avec la collante quinquagénaire. Cel